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Bienvenue sur la page des chansons de Jérôme Reissac Blog ! Découvrez des textes accompagnés en musique via I.A Suno, conçus en différents styles. Elles seront limtées à 30 exemplaires, ce sont des maquettes destinées à convaincre de vrais musiciens à la recherche d'un parolier. N'hésitez pas à me contacter.
Avril, printemps d'idées
https://suno.com/s/aloDx4bdyatxNdMZ
Les masques s'estompent enfin, de même les jours s'allongent
A quand le grand air pur ? Avril printemps d'idées
Défaire ceux qui nous trompent, débiteurs de mensonges
Le traître dans l'azur au néant ramené ?
Le "contre Un" toujours vrai, servitude volontaire
Bientôt viendront les drones pour vérifier les passes
Si cela vous effraye votez en réfractaires
Déloger de son trône, le méprisant rapace
L'aiglon de circonstances, le Président des riches
Le sérial éborgneur, le braqueur d'Elysée
Si sa fausse repentance vous plaît, sachez qu'il triche
C'est un bonimenteur pour gens décérébrés
Et toute sa jactance vous laisse les poches en friche
Mes frères, chers électeurs, aux urnes il faut voter
Ode à vous les belles rondes
https://suno.com/s/iM18HChoeTjcIgdO
Ode à vous les belles rondes
En tous points généreuses
Femmes aux hanches fécondes
Rien de moins, si pulpeuses !
Je vous aime replètes
Bien en chair et heureuses
A l'inverse des crevettes
Qui nous cassent les "joyeuses"
Me perdre entre vos seins
Poitrines opulentes
Dois-je vous faire un dessin ?
Chères déesses galantes
Étouffer de bonheur
Le visage cramoisi
En tout bien tout honneur...
Vos joues pâles ont rosies…
Coquines souvent timides
Ou joviales délurées
Nullement insipides
Proverbial susurré…
Qui saura écouter ?
https://suno.com/s/tezpH6aXhoxYSHZP
Cristallin tel le rire de l’enfant
Fragile, comme l’équilibre de la rosée, sur la toile d’araignée
Les brumes évanescentes du sous bois, au petit matin
La lumière, tendrement verte, des feuilles en contre jour
Qui saura écouter ? Voir ? Sentir ? Toucher ? Comprendre ?
Ta beauté, Ô monde si les poètes péréclitent ?
Emportés par l’absurde des famines, pollutions et autre Armageddon ?
Et nos amours ? Qui témoignera de la folie, des larmes, des battements de nos cœurs ?
Où se porteront nos espoirs ? La musique aux notes si précieuses ?
Les souvenirs et les partages ? Es-tu juste un présent infini et nous des êtres fuyants ?
Songe que les pyramides, même les pyramides, seront de petits monticules de poussières
Et toi soleil ? Astre porteur de Vie, ton sort est programmé, géante rouge puis naine blanche
Entends, mon amour, l’urgence de ma déclaration, l’essentiel, le fondement de mon élan
Ayons la musicalité, le velours du saxophone, la stridence des violons,
Le rythme de nos souffles et nos caresses plus douces que la peau de l’enfant
Comment toucher ton âme ? Comment fleurir nos transes ? Promettre de l’éternité ?
Cacher l’écueil et avancer bravaches avec cette absence et ce vide
Témoignage de l’Amour, en creux, comprendre sa densité
Cette omniprésence de la nostalgie, ce manque infini
Douleur plaisante, cultivée, origine de nos écrits, transcendances et certitudes…
Répondre à la question
https://suno.com/s/znqKzRMALwpqIrQa
Qu'est-ce que ça dit de nous ? Ces noyés dans la mer
Répondre à la question. Égoïsme des Nations
Qu'est-ce que ça dit de nous ? Migrants à nos frontières
Répondre à la question. Pleurer les oppressions
Qu'est-ce que ça dit de nous ? Plus d'oiseaux dans les airs
Répondre à la question. Rentrer en dépression
Qu'est-ce que ça dit de nous ? Plus d'insectes sur terre
Répondre à la question. C’est se mettre la pression
Qu'est-ce que ça dit de nous ? Si c’est l’enfer sur Terre !
Mais y croire dur comme fer. Qu'est-ce que ça dit de nous ?
Qu'est-ce que ça dit de nous ? Les bottes des militaires !
La perte de repères. Qu'est-ce que ça dit de nous ?
Cette soupe populaire. Qu'est-ce que ça dit de nous ?
Ces “Justes” solidaires. Qu'est-ce que ça dit de nous ?
Cette union populaire. Qu'est-ce que ça dit de nous ?
Tout ceux qui veulent bien faire. Qu'est-ce que ça dit de nous ?
Et puis plus rien
https://suno.com/s/rXZXxggn56D0FG2J
C’est la chanson, d’une émotion
La dévotion d’une relation.
Je t’ai cherché, j’ai essayé,
De deviner, dans tes pensées.
Je n’ose pas, le dire tout bas,
Reprend mon bras, partage mes draps.
J’ai confondu, je suis perdu
Et morfondu, comme vendu…
J’ai triomphé, de tes effets,
Nul n’est parfait, même une fée.
J’ai délaissé, les folles années
Et déceler, l’amour mort-né.
Tu t’en iras, où tu pourras,
Tout en tracas, tout en fracas !
Que vais-je faire, de cet enfer !
De ce cratère, d’obus par terre ?
Vais-je prier, vais-je crier ?
Être terrifié, sans cesse épié ?
Même pas un geste, toi tu me testes,
J’ai pris une veste, une main leste.
Et puis plus rien, et puis plus rien
Dans le lointain, sur mon chemin,
Pas de balises, pas de repères,
La morne plaine, en plein hiver…
Dans un grand rire, j’évite le pire,
Tous ces délires, m’en prémunir.
Tous les hommages et les images,
Font du courage, le mot des sages
J’ai inventé de beaux étés
D’humanité avec fierté
Le mot espoir, n’est pas rasoir,
Et le grand soir est à prévoir…
L'automne
https://suno.com/s/d0YrOVRJPicV0mYs
La palette du peintre a changée,
Tout de roux, tout de rouille, tout de jaune.
Le bleu du ciel est aussi échangé,
Que de gris, que de sombre, pour son trône…
Les silhouettes sont toutes frigorifiées,
Des manteaux, des pulls et des écharpes.
Et les têtes aux parapluies confiées,
Car il pleut les cordes d’une harpe.
De la cheminée, j’ai vu la fumée,
En spirale, toute blanche et montante…
Dans ces volutes, j’ai cru deviner,
L’air doux d’une chanson enivrante.
Certes, il fait froid, mais mon coeur est brûlant.
Je n’ai qu’une envie c’est de t’embrasser.
Je sens dans mes veines, battre mon sang,
Car de l’amour je ne puis me lasser…
Les nuits de lune rousse
https://suno.com/s/dENwb4T8CSe9yQ8X
Quand le vent dans les branches me parlent tout bas de toi
Que les feuilles s’abandonnent en un vol spiralé
Je repense à tes hanches, ton petit air narquois
Monte un air qui fredonne : “Où t’en es-tu allée ?”
L’aura des Muses s’étiole comme l’amour du couple
Ton parfum, Madeleine, affleure en souvenirs
L’élixir de la fiole à la fragrance plus souple
L’enfance, mon bas de laine, s’épuise de ne plus rire
Le vent plus fort sermonne : “Sache que les feuilles repoussent !”
Poète accorde ton luth, nature toujours rebelle
A la vie te cramponne, tel lierre, lichens et mousse
Poète reprends ta flûte, égrène les notes belles
Si aveugle tu tatonnes, les nuits de lune rousse
L’espoir est dans la lutte, qu’importe les séquelles…
Danse sur le lino
https://suno.com/s/jdZAsFi5VvOmN8Jl
Ha ! Vous dire ma joie de faire de la musique
Samedi en sous-sol quand j'en ai plein le dos
Si petit que je sois face à Jimmy Hendricks
Je chante en la bémol dans un micro crado
L'atmosphère électrique fait écho à la peau
Des congas de salsa, des cuivres chaleureux
Mes goûts sont éclectiques, faites passer le chapeau
Zaïrois Kinshasa poursuivre les sons heureux
La basse dans ma poitrine me fait sourire le coeur
Mélodies de piano enchantent les oreilles
Chacun attends le signe top départ, les rockers
Les enceintes, la sono crachent le son à merveille
Partitions, interligne, “un pain”, sourires moqueurs
Danser sur le lino, c’est pas demain la veille…
Sur un fond de tango
https://suno.com/s/Q9Xn4gRoucscLoxE
Sur un fond de tango, une brune au chapeau,
Au soleil de Lisbonne déambule en terrasse.
Juteuse comme un mango, sa toison est appeau,
Et que Dieu me pardonne, jamais je ne me lasse…
Lors le petit oiseau entre mes cuisses s’élève
Car “je prends mes désirs pour des réalités”
Du matin le roseau s’érige, plein de sève,
Ses fesses je veux pétrir toute une éternité.
Foucault Michel, l’été, pour gérer ses outrances
Avant les trois planches qui scelleraient son sort,
Parlait sexualité sous la douche sans souffrances
Dessous sa chemise blanche, spectacle à la Debord
Un fait de société, elle montre en transparence
Bien plus que ses deux hanches, mais est-ce le mont Thabor ?
Êtes-vous colocataires ?
https://suno.com/s/lGwa4Nl6v4IDvCVa
Derrière tes volets bleus,
L’amour est-il toujours le même ?
Est-ce que tu lui dis “je t’aime” ?
Et entretien ton feu ?
A l'assaut de tes dentelles,
Une fois franchi le rideau,
Du foyer tenu au cordeau,
Que devient la bagatelle ?
Êtes-vous colocataires ?
Toute la place pour les enfants
Et fin du désir triomphant.
Libido de grabataires…
On ne peut passer à table,
Quand l’étendard se met en berne…
Et combien la vie devient terne,
Si Madame est irritable
Lors “quand tu penses à Fernande”
Même “quand tu penses à Lulu”
Lesquelles ne t’ont pas déplues
Tu te vois bien en offrande…
Papillon déploie tes ailes,
Ou réenchante Pénélope
Car on ne change pas d’échoppe
A la première querelle…
Nous avons eu de la chance
https://suno.com/s/cNruBibxVy6ZdNXf
Les sentiers empruntés dans mon enfance
Étaient tracés par des vaches, sans cloches.
Libres, à l’écoute des merles, l’éloquence
Paisibles, malgré nos rires à leur approche
Nous n’avions pas d’automne, de feuilles caduques
Mais un ciel bleu, cotonneux de nuages
Sur nos ruisseaux pas le moindre aqueduc
Mais tout autour de l’île, c’était la plage…
Le vélo, pour aller voir les copines
Occasionnait bien quelques sparadraps,
De même que dans les haies, les épines.
Jeunes, en forme, nous jouions les fiers à bras.
Parfois, Papa nous confiait la brouette,
Pour ramasser les bouses à la lisière…
À défaut d’engrais, nous faisions la fête !
Vidangions sodas et bouteilles de bière
Malgré cette absence de tutelle,
Comme les vaches, sans la moindre anicroche
Ou de nos mères, le moindre coup d’ombrelle
Sentiers faisant, jusqu’au bac ; … qu’on décroche !

Des textes qui chantent
Ces chansons sont nées de mes propres textes, transformés en mélodies. Mon objectif ? Que chaque lecteur garde un air dans la tête, une inspiration musicale qui l'accompagne tout au long de sa journée.
Rdv avec la lune
https://suno.com/s/KQVHkIlUurxGKjaE
Quand l'orbe de la lune paraît radieux la nuit
En un clin d'œil j'absorbe, ses quartiers, ses croissants
Fini mon infortune, je suis ce coeur qui luit
Certes, de glace est sa robe, rêve pour les yeux perçants
Éternelle est sa trace dans la mémoire des hommes
Blafarde ou opaline, son silence est sans trêve
Jamais aux mêmes places et plus connue que Rome
Dans le ciel orpheline, elle semble pâlir de fièvre
Les marées la rendent sombre au plus fort de sa danse
Et pour chercher la fève, casse donc la tirelire
Avoir peur de son ombre, tu sais quand on y pense
Ne concerne pas qu'Eve et sa tombe à fleurir
Pour ne pas être du nombre, quand la douleur élance
Fait taire du bout des lèvres tes élans de grandir…
Changeantes, troublantes
https://suno.com/s/CSr8x3OBB364xCjw
Si j’étais elle, je m’aimerais quand même
Je m’accorderai une chance
Et je me ferai confiance
Si j’étais elle, je voudrais que l’on s’aime
Et moi j’accepte tout, sans rien comprendre
Comme cet énième abandon
A la recherche d’un pardon
Et moi, j’implore qu’elle revienne me prendre
Changeantes, elles veulent du cru, puis se méfient
Je suis ce poète fou
Rêvant d’étreintes à Corfou
Changeantes, troublantes, bien fol est qui s’y fie
Elles allument un brasier et puis s’en vont
Lentement je me consume
En pensant, c’est de l’écume
Elles font une ronde. Stoïques, nous les bravons
Tandis que nous brûlons, si malheureux
Nous autres, hommes solitaires
Retournons à la poussière
Tandis que tintent leurs sarcasmes joyeux
Viens je t'emmène aux Antilles
https://suno.com/s/JxunR0JPDHgN16Fy
Viens danser avec moi, je t’emmène aux Antilles.
Ondule contre moi en déhanchés fluides.
Nos désirs, nos émois, faire de toi, grande fille,
De nymphe au désarroi, une femme moins timide…
Ton envie, ressentir mes baisers sur ta bouche.
Dans le rythme enlacés, je picore tes lèvres,
Et pourquoi le mentir, tu veux que je te touche,
Mon joli fruit pressé, je te masse avec fièvre,
Tu voudrais de ma langue, tu ressens ce besoin.
Vite nous quittons les lieux, fuyons dans la voiture.
Sous ta jupe ta mangue, en attente de mes soins…
Ce nymphéa joyeux, en changeant de posture,
Éclôt quand ton corps tangue, effet de mes doigts joints,
En ton antre soyeux. Elles arrivent mes morçures…
La Vie
https://suno.com/s/A7GX0Hl23wiUbYhp
Je l’aime, mais ne sais plus l’écrire,
J’en ai besoin, mais ne sais pas lui dire,
A la façon d’une drogue,
A la façon d’un délice
Alors j’utilise ses mots,
Alors j’emprunte, pour pouvoir m’exprimer,
A la façon d’un voyage,
A la façon d’une passion
Si tendre, une folle euphorie,
M’emporte au sein même de ses silences,
Dans le creux, du sens caché,
Dans les pleins, de sa douceur
La perdre c’est aussi la gagner,
Sa grâce vitale, partout dans la Nature,
Et dans le creux de la vague,
Et dans les pleins des montagnes
Je l’aime, ce goût d’inachevé,
Et je souris de ces moments rêvés,
De la danse des oiseaux,
Comme je pense en roseau
Le souffle du verbe ânonné,
Présent ! Dès le berceau du nouveau-né,
La latence du perçu,
Je me lance ! Puis, j’ai vécu…
Jolie inconnue
https://suno.com/s/EbtvYJGKja1bLtyJ
A toi jolie inconnue,
De Jean et de cuir vêtue,
Aux lèvres de gloss boudeuses,
Pourtant à la mine heureuse…
Et cette épaule comme offerte,
Là, sous la bretelle verte,
D’un petit sac argenté.
Tu ne cesses de me hanter…
Apparition jeune, sauvage
Dans le métro, ses tangages.
Tes sourcils, rehaussés d’or,
Ont plus au vieux minotaure…
Afro de cheveux gaufrés,
Pompon pour sang échauffé,
Ce nez finement ourlé,
Tel le biscuit démoulé…
Les ongles de mannequin,
Enfièvrent mes yeux coquins.
En un battement de cils,
Disparition de l’idylle…
Et bim !
https://suno.com/s/4lyXYZgo3DMzCszf
Mes pensées s’égarent et “Bim !” elle est dans mon coeur…
“Boum-boum, boum-boum !”, il tape fort dans ma poitrine,
Je cherche à m'exiler et “Re-Bim !”, Oh ! stupeur !
“Toc ! Toc ! Toc !”, “Patatra !” Et brisée ma vitrine,
Ma façade d’amitié, indiscutable, je l’aime…
Et me prends à rêver, d’un amour en esprit.
Mais Dieu est sans pitié, “Tin-tin !” Tu fais carême !
Tu peux toujours crever, poète malappris !
“Ouin ! Ouin ! Ouin !” Et je pleure, en silence en mon âme…
Mon enfant intérieur a trouvé son reflet.
“Tic-Tac !” Ce n'est pas l'heure de rejoindre ta dame.
Viendra ce monde meilleur, tes mots feront effet,
Séduite par leur chaleur, elle entendra le brame…
Et “Squiiiiiz !” Glisse mon bonheur, dans mes bras, jolie fée.

Tous les styles, une seule passion
Du rock à la pop, en passant par le jazz et la musique classique, tous les styles de musique sont les bienvenus. L'important est de donner vie aux mots, de créer une émotion, de raconter une histoire.

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